Hypnose dentaire opératoire et thérapeutique.
L’hypnose permet de bâtir une meilleure coopération avec le patient et une adhésion au traitement.
Drs Brice Lemaire et Valérie Pouysségur pour dentaire365.fr
L’hypnose intrigue, fascine, effraie… elle ne laisse personne indifférent et tous ceux qui la pratiquent sont conquis. L’idée que l’on s’en fait est souvent véhiculée par l’imagerie populaire, les médias, les récits…
Elle nourrit beaucoup de fantasmes, certains comportements passionnels, voire irrationnels. On constate bien souvent une ignorance et une méconnaissance, de ce qu’est l’hypnose réellement, de ses domaines d’application, des résultats qu’elle permet d’obtenir, mais également des avancées médicales et technologiques des neuro-sciences qui la valident scientifiquement.
Depuis quelques années, nous observons un regain d’intérêt pour l’hypnose, et son utilisation en dentisterie. S’agit-il d’une véritable découverte ? Nous devrions plutôt parler de re-découverte. En effet, l’hypnose médicale était enseignée dans les facultés médicales en France au début du XXe siècle, avant de disparaître, et de réapparaître aux USA de façon officielle avec l’AMA (American Médical Association) dès 1958. Elle a été enseignée dans les pays anglo-saxons dans les facultés de médecine, et dans les facultés dentaires depuis la fin des années 1950, dates où l’on voit apparaître les premiers ouvrages dédiés spécifiquement à l’hypnose dentaire. En France, après quelques incursions discrètes dans les années 1970 avec le Dr Cherchève, il faudra attendre 2015 pour que l’hypnose fasse son entrée officielle dans les facultés de chirurgie dentaire avec la création du Diplôme universitaire d’hypnose dentaire (DUHD) à la faculté d’odontologie de Nice Sophia Antipolis. Des ouvrages dentaires dédiés à l’hypnose commencent à apparaître à nouveau. Mais qu’est-ce que l’hypnose réellement, comment l’appliquer au cabinet ? Quels bénéfices peut-on en tirer ? En nous inspirant de notre pratique professionnelle quotidienne, nous avons souhaité à travers cet article décrire de façon simple et didactique comment créer de l’hypnose au cabinet, au service de l’amélioration des conditions de soins, pour les patients comme pour les soignants.
Comment définir l’hypnose ?
Aucune définition ne fait actuellement consensus.
Pour Elman, il s’agit d’un état d’esprit qui permet le contournement du facteur critique du conscient et la mise en place de pensées sélectionnées.
Pour Erickson, il s’agit d’un état de conscience spécial caractérisé par la réceptivité aux idées.
Pour les neurosciences, il s’agit d’un état de conscience modifié caractérisé par une augmentation du débit sanguin au niveau des cortex occipital, pariétal, précentral, préfrontal et cingulaire. D’un point de vue neurophysiologique, le précunéus et la région mésiofrontale sont désactivées. L’état hypnotique est associé à une diminution de la perception douloureuse due à une augmentation de la modulation fonctionnelle entre le cortex cingulaire antérieur et un large réseau neuronal de structures corticales et sous-corticales impliquées dans les différentes composantes de la douleur. Pour définir plus simplement l’hypnose auprès du grand public et de nos patients, nous leur expliquons que la journée, ils sont conscients, et que la nuit, ils dorment et rêvent. L’hypnose consiste tout simplement à faire rêver dans la journée. Quand le cerveau rêve (Fig.4), il manifeste alors des phénomènes psychologiques, et physiologiques, différents de ceux manifestés en état de conscience ordinaire.

Quelles applications pouvons-nous faire de cet état de conscience modifié ?
Ses principales applications en odontologie... La suite sur le site Dentaire365
Drs Brice Lemaire et Valérie Pouysségur pour dentaire365.fr
L’hypnose intrigue, fascine, effraie… elle ne laisse personne indifférent et tous ceux qui la pratiquent sont conquis. L’idée que l’on s’en fait est souvent véhiculée par l’imagerie populaire, les médias, les récits…
Elle nourrit beaucoup de fantasmes, certains comportements passionnels, voire irrationnels. On constate bien souvent une ignorance et une méconnaissance, de ce qu’est l’hypnose réellement, de ses domaines d’application, des résultats qu’elle permet d’obtenir, mais également des avancées médicales et technologiques des neuro-sciences qui la valident scientifiquement.
Depuis quelques années, nous observons un regain d’intérêt pour l’hypnose, et son utilisation en dentisterie. S’agit-il d’une véritable découverte ? Nous devrions plutôt parler de re-découverte. En effet, l’hypnose médicale était enseignée dans les facultés médicales en France au début du XXe siècle, avant de disparaître, et de réapparaître aux USA de façon officielle avec l’AMA (American Médical Association) dès 1958. Elle a été enseignée dans les pays anglo-saxons dans les facultés de médecine, et dans les facultés dentaires depuis la fin des années 1950, dates où l’on voit apparaître les premiers ouvrages dédiés spécifiquement à l’hypnose dentaire. En France, après quelques incursions discrètes dans les années 1970 avec le Dr Cherchève, il faudra attendre 2015 pour que l’hypnose fasse son entrée officielle dans les facultés de chirurgie dentaire avec la création du Diplôme universitaire d’hypnose dentaire (DUHD) à la faculté d’odontologie de Nice Sophia Antipolis. Des ouvrages dentaires dédiés à l’hypnose commencent à apparaître à nouveau. Mais qu’est-ce que l’hypnose réellement, comment l’appliquer au cabinet ? Quels bénéfices peut-on en tirer ? En nous inspirant de notre pratique professionnelle quotidienne, nous avons souhaité à travers cet article décrire de façon simple et didactique comment créer de l’hypnose au cabinet, au service de l’amélioration des conditions de soins, pour les patients comme pour les soignants.
Comment définir l’hypnose ?
Aucune définition ne fait actuellement consensus.
Pour Elman, il s’agit d’un état d’esprit qui permet le contournement du facteur critique du conscient et la mise en place de pensées sélectionnées.
Pour Erickson, il s’agit d’un état de conscience spécial caractérisé par la réceptivité aux idées.
Pour les neurosciences, il s’agit d’un état de conscience modifié caractérisé par une augmentation du débit sanguin au niveau des cortex occipital, pariétal, précentral, préfrontal et cingulaire. D’un point de vue neurophysiologique, le précunéus et la région mésiofrontale sont désactivées. L’état hypnotique est associé à une diminution de la perception douloureuse due à une augmentation de la modulation fonctionnelle entre le cortex cingulaire antérieur et un large réseau neuronal de structures corticales et sous-corticales impliquées dans les différentes composantes de la douleur. Pour définir plus simplement l’hypnose auprès du grand public et de nos patients, nous leur expliquons que la journée, ils sont conscients, et que la nuit, ils dorment et rêvent. L’hypnose consiste tout simplement à faire rêver dans la journée. Quand le cerveau rêve (Fig.4), il manifeste alors des phénomènes psychologiques, et physiologiques, différents de ceux manifestés en état de conscience ordinaire.

Quelles applications pouvons-nous faire de cet état de conscience modifié ?
Ses principales applications en odontologie... La suite sur le site Dentaire365
Hypnose dentaire : Opératoire et thérapeutique. Drs Brice Lemaire et Valérie Pouysségur
On constate bien souvent une ignorance et une méconnaissance de ce qu'est l'hypnose réellement... de ses domaines d'application, des résultats qu'elle permet d'obtenir, mais également, des avancées médicales et technologiques des neuro-sciences qui la valident scientifiquement. En nous inspirant de notre pratique professionnelle quotidienne, nous avons souhaité décrire de façon simple et didactique, comment créer de l'hypnose au cabinet dentaire, au service de l'amélioration des conditions de soins, pour les patients comme pour les soignants. Cet ouvrage s'adresse à tous les praticiens intéressés par cet outil thérapeutique en leur proposant les utilisations possibles de l'hypnose au cabinet à mettre en oeuvre immédiatement. Il s'adresse également à tous les praticiens déjà formés, souhaitant avoir un support de référence pour progresser, et acquérir de nouveaux outils pour gérer la transe hypnotique. Enfin, il s'adresse à tout le personnel médical et paramédical (médecin, urgentiste, infirmière, sage femme, kinésithérapeute, ostéopathe) qui souhaite connaître et approndir la pratique et la mise en oeuvre de l'hypnose opératoire.
L'hypnose dentaire : Guide et exercices pratiques. Sonia Spelen
Discipline de plus en plus pratiquée au sein des cabinets dentaires, l'hypnose est devenue un outil incontournable facilitant le travail au fauteuil. Basée sur des fondamentaux simples et accessibles à tous, elle ne demande pour prérequis que la seule motivation. La pratique de l'hypnose dentaire est bénéfique à double titre, pour le patient et pour le praticien. Le but de l'hypnose dentaire est de détendre le patient et d'optimiser les ressources de son corps afin de permettre, par exemple, une cicatrisation plus rapide. C'est également d'établir une relation de confiance et de coopération entre le patient et le praticien. En tant que spécialiste du milieu dentaire et coach en ressources humaines utilisant l'hypnose ericksonienne au quotidien, Sonia Spelen bénéficie d'une réelle expertise. S'appuyant sur son expérience, elle révèle les petits secrets qui font que l'hypnose dentaire fonctionne systématiquement. Véritable guide pratique, ce livre présente des méthodes et des protocoles d'accompagnement pour simplifier la mise en place de l'hypnose au cabinet. Il accompagnera de façon pédagogique les chirurgiens-dentistes novices dans la découverte de cette discipline et les plus expérimentés vers un développement de leurs compétences afin d'affiner leur pratique.
Formation en Hypnose Dentaire
Formation à l’Hypnoanalgésie en soins dentaires.
Aux travers d'exposés, démonstrations et analyses, nous vous proposons de vous former à l'hypnoanalgésie en soins dentaires.
Les mises en situations pratiques supervisées et en petit groupe, vous permettrons une application rapide au sein de vos c...
Lire la suite sur : Formation Hypnoanalgésie, gestion de la douleur aiguë
Aux travers d'exposés, démonstrations et analyses, nous vous proposons de vous former à l'hypnoanalgésie en soins dentaires.
Les mises en situations pratiques supervisées et en petit groupe, vous permettrons une application rapide au sein de vos c...
Lire la suite sur : Formation Hypnoanalgésie, gestion de la douleur aiguë
"Comment va votre vélo ?" : quand la confusion soulage la perfusion. Par Sylvie Riou-Milliot pour Sciences et Avenir
Une étude franco-belge prouve l’intérêt d’une communication de type hypnotique basée sur la distraction lors de la réalisation de gestes douloureux. Résultat, moins de douleur, d’anxiété et plus de confort pour le malade.
Oui, les mots peuvent blesser. Et oui, la communication d’un thérapeute peut, à elle seule, changer le ressenti d’un geste inconfortable. La preuve avec le travail original d’une équipe franco-belge récemment publié dans la revue British Journal of anesthesia présenté au 20e congrès de la Société française d’étude et de traitement de la douleur (SFETD). Ici, les anesthésistes réanimateurs à l’origine de l’essai se sont intéressés aux mots prononcés lors de la pose d'une perfusion sur le dos de la main, un geste générant souvent douleur, anxiété et inconfort.
Leur essai dit KTHYPE - prospectif, comparé, randomisé et multicentrique- a été mené sur 300 adultes, tous nécessitant une intervention chirurgicale et chez qui la pose d'une perfusion était prévue.
"Votre vélo va toujours à la piscine ?"
Les 300 patients, issus de trois hôpitaux différents (CHU de Rennes, Hôpital de Saint Grégoire, Hôpital Saint Luc de Bruxelles) ont été répartis au hasard en trois groupes : soit 89 dans le groupe hypnose (quand le soignant distrait l’attention par des phrases inattendues), 92 dans le groupe neutre (les gestes sont sobrement décrits) et 91, les plus malchanceux, dans le groupe nocebo, avec des mots franchement connotés négativement, encore trop souvent prononcés par les soignants.
En pratique, aux trois temps distincts du geste (pose du garrot, désinfection, introduction de l’aiguille), le groupe hypnose a entendu « comment êtes-vous venu à l’hôpital ce matin, combien de temps avez-vous mis pour venir ? Votre vélo va toujours à la piscine ? », le groupe neutre « Je place un élastique, je désinfecte, je pose la perfusion » et le Nocebo « Je serre fort le garrot, c’est froid, attention, ça va faire mal, un deux trois je pique ».
Pour leur essai, les auteurs ont évalué par des questionnaires classiques la douleur ressentie par les patients lors de la pose de la perfusion mais aussi, avant et après, leurs degrés d’anxiété et de confort.
Moins de douleur, moins d’anxiété et plus de confort dans le groupe hypnose
Résultats éloquents et significatifs : moins de douleur, moins d’anxiété et plus de confort dans le groupe hypnose. « L’objectif est de provoquer une confusion, détaille le Dr Fusco, anesthésiste réanimateur au CHU de Rennes, premier auteur du travail. Ici, nous avons du standardiser les phrases. Mais ce qui est recommandé est de choisir les mots en fonction de ce que l’on ressent avec chaque patient en allant à sa rencontre et en échangeant avec lui, dès que l’on est face à lui, avant même la réalisation du geste, afin de personnaliser le message pour lui donner plus d’efficacité ».
Et le spécialiste de poursuivre: « La confusion soulage la perfusion. Nos résultats renforcent la nécessité d’enseigner la communication thérapeutique dans le parcours de tous les soignants et à tous les niveaux, de la secrétaire médicale au professeur d’université. Car en médecine, le principe numéro 1 c’est de ne pas nuire, 'primum non nocere'. D’où toute l’importance des mots mais aussi du langage non verbal (attitude corporelle) et paraverbal (timbre de la voix, intonation) ».
Alors, à quand un enseignement généralisé sur les bancs des facultés ? «C’est en cours, ces techniques se diffusent lentement via les écoles d’infirmiers et les formations à l’hypnose, détaille le Dr Fusco. Et contrairement à une idée reçue, cela ne prend pas plus de temps, il suffit d’intégrer ce type de communication dans sa pratique ».
Oui, les mots peuvent blesser. Et oui, la communication d’un thérapeute peut, à elle seule, changer le ressenti d’un geste inconfortable. La preuve avec le travail original d’une équipe franco-belge récemment publié dans la revue British Journal of anesthesia présenté au 20e congrès de la Société française d’étude et de traitement de la douleur (SFETD). Ici, les anesthésistes réanimateurs à l’origine de l’essai se sont intéressés aux mots prononcés lors de la pose d'une perfusion sur le dos de la main, un geste générant souvent douleur, anxiété et inconfort.
Leur essai dit KTHYPE - prospectif, comparé, randomisé et multicentrique- a été mené sur 300 adultes, tous nécessitant une intervention chirurgicale et chez qui la pose d'une perfusion était prévue.
"Votre vélo va toujours à la piscine ?"
Les 300 patients, issus de trois hôpitaux différents (CHU de Rennes, Hôpital de Saint Grégoire, Hôpital Saint Luc de Bruxelles) ont été répartis au hasard en trois groupes : soit 89 dans le groupe hypnose (quand le soignant distrait l’attention par des phrases inattendues), 92 dans le groupe neutre (les gestes sont sobrement décrits) et 91, les plus malchanceux, dans le groupe nocebo, avec des mots franchement connotés négativement, encore trop souvent prononcés par les soignants.
En pratique, aux trois temps distincts du geste (pose du garrot, désinfection, introduction de l’aiguille), le groupe hypnose a entendu « comment êtes-vous venu à l’hôpital ce matin, combien de temps avez-vous mis pour venir ? Votre vélo va toujours à la piscine ? », le groupe neutre « Je place un élastique, je désinfecte, je pose la perfusion » et le Nocebo « Je serre fort le garrot, c’est froid, attention, ça va faire mal, un deux trois je pique ».
Pour leur essai, les auteurs ont évalué par des questionnaires classiques la douleur ressentie par les patients lors de la pose de la perfusion mais aussi, avant et après, leurs degrés d’anxiété et de confort.
Moins de douleur, moins d’anxiété et plus de confort dans le groupe hypnose
Résultats éloquents et significatifs : moins de douleur, moins d’anxiété et plus de confort dans le groupe hypnose. « L’objectif est de provoquer une confusion, détaille le Dr Fusco, anesthésiste réanimateur au CHU de Rennes, premier auteur du travail. Ici, nous avons du standardiser les phrases. Mais ce qui est recommandé est de choisir les mots en fonction de ce que l’on ressent avec chaque patient en allant à sa rencontre et en échangeant avec lui, dès que l’on est face à lui, avant même la réalisation du geste, afin de personnaliser le message pour lui donner plus d’efficacité ».
Et le spécialiste de poursuivre: « La confusion soulage la perfusion. Nos résultats renforcent la nécessité d’enseigner la communication thérapeutique dans le parcours de tous les soignants et à tous les niveaux, de la secrétaire médicale au professeur d’université. Car en médecine, le principe numéro 1 c’est de ne pas nuire, 'primum non nocere'. D’où toute l’importance des mots mais aussi du langage non verbal (attitude corporelle) et paraverbal (timbre de la voix, intonation) ».
Alors, à quand un enseignement généralisé sur les bancs des facultés ? «C’est en cours, ces techniques se diffusent lentement via les écoles d’infirmiers et les formations à l’hypnose, détaille le Dr Fusco. Et contrairement à une idée reçue, cela ne prend pas plus de temps, il suffit d’intégrer ce type de communication dans sa pratique ».
L'hypnose en situation d'urgence: Urgences - Médecine générale - Anesthésie - Obstétrique - Odontologie - Psychiatrie
Aujourd'hui, l'hypnose est une pratique reconnue pour traiter et soulager des patients. Elle est souvent pratiquée en cabinet, dans un endroit calme et confortable. Quel que soit son exercice, tout soignant peut avoir à gérer des situations inattendues, quand « tout s’accélère ». Comment utiliser l'hypnose même dans le contexte de l'urgence? Agir vite en utilisant des techniques rapides, loin de l'image de relaxation parfois faussement véhiculée sur l'hypnose, mais loin aussi du sensationnel relayé dans les médias et toujours dans le respect du patient.
Ce livre pratique est écrit par des soignants pour des soignants, soit déjà formés à l'hypnose, soit intéressés par cette pratique et souhaitant se former.
Chaque chapitre s'intéresse à un contexte et ses enjeux (urgences, médecine générale, psychiatrie, soins infirmiers, anesthésie, obstétrique, odontologie...), à une technique utilisée par un praticien et est illustrée par de nombreux cas concrets.
Philippe Aïm, Denys Coester , Cécile Colas-Nguyen (Institut Double Lien Grand Est), Antoine Garnier , Nazmine Guler , Florent Hamon (Institut In-Dolore à Paris), Idrissa N'Diaye , Corinne Pissevin , Pascale Reynette , Sabine Robier , Jordan Verot
Ce livre pratique est écrit par des soignants pour des soignants, soit déjà formés à l'hypnose, soit intéressés par cette pratique et souhaitant se former.
Chaque chapitre s'intéresse à un contexte et ses enjeux (urgences, médecine générale, psychiatrie, soins infirmiers, anesthésie, obstétrique, odontologie...), à une technique utilisée par un praticien et est illustrée par de nombreux cas concrets.
Philippe Aïm, Denys Coester , Cécile Colas-Nguyen (Institut Double Lien Grand Est), Antoine Garnier , Nazmine Guler , Florent Hamon (Institut In-Dolore à Paris), Idrissa N'Diaye , Corinne Pissevin , Pascale Reynette , Sabine Robier , Jordan Verot