Médecin généraliste, formé à l’hypnose médicale, je croise d’autres médecins qui ont cet outil dans leur sacoche.
Certains s’en servent, d’autres moins. Ils invoquent alors tout un tas de raisons : pas le temps, pas de reconnaissance de l’acte, pas facile à concilier avec l’organisation du cabinet... Pourtant, l’hypnose peut apporter quelque chose en plus au patient mais aussi au médecin lui-même.
A travers cet article, je vous propose de découvrir différentes situations où l’hypnose m’a été utile dans plusieurs contextes de médecine générale.
MADAME O.
J’ai débuté ma formation en hypnose au cours de mon internat. Mon dernier semestre se déroulait en autonomie chez des médecins généralistes. Au début du stage, lors d’une consultation réalisée en binôme avec le médecin senior, Mme O. décrit une douleur allant de l’épaule au poignet gauche et une autre douleur au majeur gauche. Je l’examine et retrouve une névralgie cervico-brachiale (NCB) avec une contracture musculaire bien palpable au niveau du trapèze gauche. Le médecin senior prend alors le relais pour effectuer de la mésothérapie. Au cours de l’examen, en poursuivant l’échange, la patiente explique son contexte de stress et d’angoisse lié à un problème familial récent. Le médecin me glisse : « Tu peux peut-être faire ton truc là pendant que je fais le geste. »
La patiente a déjà eu de la mésothérapie et anticipe la douleur de ces multiples injections dans le dos. Je me dis que je pour- rais au moins détourner son attention de cette partie du corps. Allez, j’ose faire de l’hypnose avec cette patiente ! Mais quoi faire ? Je n’ai pas eu le temps d’en discuter avec elle. L’autre médecin ne connaît pas cette pratique et risque d’interférer. Pas le temps de trouver un tas de raison pour ne rien faire, je m’entends dire : « Pendant que mon collègue s’occupe d’une par- tie de vous... je vais vous proposer un petit exercice... et pour ça j’aimerais savoir... où est votre angoisse ? »
J’aperçois le regard déconcerté du mé- decin derrière la patiente. J’imagine qu’il cherche la logique de la question. La réponse de la patiente vient confirmer mon intuition : « Dans ce doigt » (majeur gauche). « Très bien... » Et l’on poursuit la réification de cette angoisse sous la forme d’une pierre blanche, rigide et froide, qui s’est installée là. Petit à petit, la pierre devient plus souple, plus chaude et le doigt devient plus confortable.
Je repense alors à sa description initiale de la douleur. Elle en distinguait bien deux. Et je me demande ce qu’auraient pu faire les antalgiques ou la mésothérapie sur cette douleur du doigt qu’en tant que mé- decin on aurait attribué à la NCB mais que la patiente rattachait à de l’angoisse. Au cours du stage, je reverrai Mme O. pour un autre motif. Elle m’expliquera qu’elle a continué à s’aider de la respiration pour at- ténuer cette gêne au doigt. « Très bien ! »
MADAME S.
Après les stages, je débute les remplace- ments. Il faut s’adapter rapidement au ca- binet, à l’organisation du médecin, à son lo- giciel, à son rythme de consultation, etc. Un matin, je reçois Mme S. qui vient pour le re- nouvellement de son antidépresseur. L’en- tretien confirme qu’elle est effectivement en dépression chronique. Suite au décès de son mari il y a plus d’un an, elle passe toutes ses journées au cimetière. Toute son éner- gie y passe. Elle ne mange quasiment plus et continue de perdre du poids. Elle refuse de voir un(e) psychologue (« à quoi ça ser- virait ? ») ou un(e) psychiatre (« pour avoir encore plus de médicaments ? »).
J’aurais pu renouveler le traitement et laisser son médecin habituel réévaluer. Mais j’ai envie de lui proposer autre chose. Allez, j’ose ! Il ne me reste que deux jours de remplacement donc j’insiste bien sur le fait que c’est à elle de décider si elle se sent prête à changer. Elle me dit oui, alors on se revoit en fin de journée où elle m’explique son parcours de vie. Ce premier entretien me permet d’avoir quelques hypothèses d’état et de processus et de repérer des res- sources, notamment sa résistance et sa ca- pacité à affronter une multitude de situa- tions problématiques.
Je la revois dès le lendemain soir. La séance est riche en émotion. Elle réussit d’abord à dénouer le nœud en béton qui lui bloquait l’estomac. Ensuite, petit à petit, elle se construit un lieu sûr, toujours avec beau- coup d’émotion. Et puis pas de nouvelles... Je recontacte donc le médecin traitant uelques mois après. Il m’apprend que tout son entourage la trouve changée. Elle ne se rend plus de manière obsessionnelle au ci- metière et en est ravie . « Bravo ! »
Certains s’en servent, d’autres moins. Ils invoquent alors tout un tas de raisons : pas le temps, pas de reconnaissance de l’acte, pas facile à concilier avec l’organisation du cabinet... Pourtant, l’hypnose peut apporter quelque chose en plus au patient mais aussi au médecin lui-même.
A travers cet article, je vous propose de découvrir différentes situations où l’hypnose m’a été utile dans plusieurs contextes de médecine générale.
MADAME O.
J’ai débuté ma formation en hypnose au cours de mon internat. Mon dernier semestre se déroulait en autonomie chez des médecins généralistes. Au début du stage, lors d’une consultation réalisée en binôme avec le médecin senior, Mme O. décrit une douleur allant de l’épaule au poignet gauche et une autre douleur au majeur gauche. Je l’examine et retrouve une névralgie cervico-brachiale (NCB) avec une contracture musculaire bien palpable au niveau du trapèze gauche. Le médecin senior prend alors le relais pour effectuer de la mésothérapie. Au cours de l’examen, en poursuivant l’échange, la patiente explique son contexte de stress et d’angoisse lié à un problème familial récent. Le médecin me glisse : « Tu peux peut-être faire ton truc là pendant que je fais le geste. »
La patiente a déjà eu de la mésothérapie et anticipe la douleur de ces multiples injections dans le dos. Je me dis que je pour- rais au moins détourner son attention de cette partie du corps. Allez, j’ose faire de l’hypnose avec cette patiente ! Mais quoi faire ? Je n’ai pas eu le temps d’en discuter avec elle. L’autre médecin ne connaît pas cette pratique et risque d’interférer. Pas le temps de trouver un tas de raison pour ne rien faire, je m’entends dire : « Pendant que mon collègue s’occupe d’une par- tie de vous... je vais vous proposer un petit exercice... et pour ça j’aimerais savoir... où est votre angoisse ? »
J’aperçois le regard déconcerté du mé- decin derrière la patiente. J’imagine qu’il cherche la logique de la question. La réponse de la patiente vient confirmer mon intuition : « Dans ce doigt » (majeur gauche). « Très bien... » Et l’on poursuit la réification de cette angoisse sous la forme d’une pierre blanche, rigide et froide, qui s’est installée là. Petit à petit, la pierre devient plus souple, plus chaude et le doigt devient plus confortable.
Je repense alors à sa description initiale de la douleur. Elle en distinguait bien deux. Et je me demande ce qu’auraient pu faire les antalgiques ou la mésothérapie sur cette douleur du doigt qu’en tant que mé- decin on aurait attribué à la NCB mais que la patiente rattachait à de l’angoisse. Au cours du stage, je reverrai Mme O. pour un autre motif. Elle m’expliquera qu’elle a continué à s’aider de la respiration pour at- ténuer cette gêne au doigt. « Très bien ! »
MADAME S.
Après les stages, je débute les remplace- ments. Il faut s’adapter rapidement au ca- binet, à l’organisation du médecin, à son lo- giciel, à son rythme de consultation, etc. Un matin, je reçois Mme S. qui vient pour le re- nouvellement de son antidépresseur. L’en- tretien confirme qu’elle est effectivement en dépression chronique. Suite au décès de son mari il y a plus d’un an, elle passe toutes ses journées au cimetière. Toute son éner- gie y passe. Elle ne mange quasiment plus et continue de perdre du poids. Elle refuse de voir un(e) psychologue (« à quoi ça ser- virait ? ») ou un(e) psychiatre (« pour avoir encore plus de médicaments ? »).
J’aurais pu renouveler le traitement et laisser son médecin habituel réévaluer. Mais j’ai envie de lui proposer autre chose. Allez, j’ose ! Il ne me reste que deux jours de remplacement donc j’insiste bien sur le fait que c’est à elle de décider si elle se sent prête à changer. Elle me dit oui, alors on se revoit en fin de journée où elle m’explique son parcours de vie. Ce premier entretien me permet d’avoir quelques hypothèses d’état et de processus et de repérer des res- sources, notamment sa résistance et sa ca- pacité à affronter une multitude de situa- tions problématiques.
Je la revois dès le lendemain soir. La séance est riche en émotion. Elle réussit d’abord à dénouer le nœud en béton qui lui bloquait l’estomac. Ensuite, petit à petit, elle se construit un lieu sûr, toujours avec beau- coup d’émotion. Et puis pas de nouvelles... Je recontacte donc le médecin traitant uelques mois après. Il m’apprend que tout son entourage la trouve changée. Elle ne se rend plus de manière obsessionnelle au ci- metière et en est ravie . « Bravo ! »
La conspiration du silence: Tâches thérapeutiques. Guillaume DELANNOY, Vania TORRES-LACAZE et Annick TOUSSAINT
A partir de maintenant, et jusqu’à notre prochaine rencontre, je vais vous demander de ne plus du tout parler de votre problème, et ce à qui que ce soit. Vous pouvez bien entendu continuer à parler de tout autre sujet, mais plus un mot à propos de ces difficultés récurrentes que vous rencontrez.
A partir de maintenant, et jusqu’à notre prochaine rencontre, je vais vous demander de ne plus du tout parler de votre problème, et ce à qui que ce soit. Vous pouvez bien entendu continuer à parler de tout autre sujet, mais plus un mot à propos de ces difficultés récurrentes que vous rencontrez.
Conscience et guérison: le rôle du patient dans le processus de guérison. Dr Gérard VIGNERON
« Oui, vous aviez raison, c’est bien un lymphome. » Ces quelques mots prononcés par le chirurgien qui venait de recevoir les résultats de l’anatomo-pathologie des ganglions enlevés quelques jours auparavant, allaient provoquer en moi une espèce d’urgence à préciser le rôle et la place que doit prendre le patient dans le processus de guérison.
« Oui, vous aviez raison, c’est bien un lymphome. » Ces quelques mots prononcés par le chirurgien qui venait de recevoir les résultats de l’anatomo-pathologie des ganglions enlevés quelques jours auparavant, allaient provoquer en moi une espèce d’urgence à préciser le rôle et la place que doit prendre le patient dans le processus de guérison.
Note Cinquième selon François Roustang. Sylvie LE PELLETIER-BEAUFOND
Présentant un court texte lors d’une rencontre sur le thème de l’identité, François Roustang propose une réflexion sur ce qu’il titre « habitation ». Ce texte ne prétend pas aborder la question sou- levée ici d’un point de vue philosophique ou d’un point de vue social, il énonce une démarche thérapeutique en tout point originale.
Présentant un court texte lors d’une rencontre sur le thème de l’identité, François Roustang propose une réflexion sur ce qu’il titre « habitation ». Ce texte ne prétend pas aborder la question sou- levée ici d’un point de vue philosophique ou d’un point de vue social, il énonce une démarche thérapeutique en tout point originale.
Cardiopathies congénitales en service de réanimation. Karine CAMPISTRON
Nous travaillons dans le service de réanimation des cardiopathies congénitales de l’adulte et de l’enfant de l’hôpital Haut-Lévêque au CHU de Bordeaux. Dans ce service l’accompagnement des patients en réanimation est très complexe. Les patients, adultes comme enfants, y sont très techniqués (cathéters, drains, électrodes, sondes, canules...).
Nous travaillons dans le service de réanimation des cardiopathies congénitales de l’adulte et de l’enfant de l’hôpital Haut-Lévêque au CHU de Bordeaux. Dans ce service l’accompagnement des patients en réanimation est très complexe. Les patients, adultes comme enfants, y sont très techniqués (cathéters, drains, électrodes, sondes, canules...).
La rééducation en éveil de coma: Intérêt de l'Hypnose. Marie-Pierre BERTINET et Céline DEFACHELLE
Et si l’hypnose était non seulement praticable, mais présentait un intérêt majeur chez un patient douloureux en état de coma vigile ?
Devant l’absence d’évolution significative de Paul, une prise en charge à visée antalgique a été tentée pendant trois mois par un binôme hypnothérapeute-kinésithérapeute.
Et si l’hypnose était non seulement praticable, mais présentait un intérêt majeur chez un patient douloureux en état de coma vigile ?
Devant l’absence d’évolution significative de Paul, une prise en charge à visée antalgique a été tentée pendant trois mois par un binôme hypnothérapeute-kinésithérapeute.
Hypnose en terrain humanitaire. Christine ALLARY
Au décours d’une mission de chirurgie maxillo-faciale, en situation anesthésique précaire avec l’association Les Enfants du Noma à Madagascar, l’idée s’est spontanément imposée à l’équipe d’anesthésie de mettre en place et bénéficier de l’outil hypnose au bloc opératoire.
Au décours d’une mission de chirurgie maxillo-faciale, en situation anesthésique précaire avec l’association Les Enfants du Noma à Madagascar, l’idée s’est spontanément imposée à l’équipe d’anesthésie de mettre en place et bénéficier de l’outil hypnose au bloc opératoire.
Médecin généraliste et Hypnose: Osez ! Dr Pierre Le Grand
Médecin généraliste, formé à l’hypnose médicale, je croise d’autres médecins qui ont cet outil dans leur sacoche. Certains s’en servent, d’autres moins. Ils invoquent alors tout un tas de raisons : pas le temps, pas de reconnaissance de l’acte, pas facile à concilier avec l’organisation du cabinet...
Médecin généraliste, formé à l’hypnose médicale, je croise d’autres médecins qui ont cet outil dans leur sacoche. Certains s’en servent, d’autres moins. Ils invoquent alors tout un tas de raisons : pas le temps, pas de reconnaissance de l’acte, pas facile à concilier avec l’organisation du cabinet...
Au quotidien: La pratique de l'hypnose en médecine générale. Dr Salomon HAYOUN
Près de seize ans après ma formation à l’hypnose médicale auprès de Jean-Marc Benhaiem et de l’influence philosophique de François Roustang, il m’est agréable de m’interroger sur ma pratique de l’hypnose en médecine générale. Outre la transformation personnelle qu’il est classique d’exprimer comme tous ceux qui ont été initiés à l’hypnose, j’aborderai ici mes rapports aux patients, à la maladie et ma position en tant que soignant.
Près de seize ans après ma formation à l’hypnose médicale auprès de Jean-Marc Benhaiem et de l’influence philosophique de François Roustang, il m’est agréable de m’interroger sur ma pratique de l’hypnose en médecine générale. Outre la transformation personnelle qu’il est classique d’exprimer comme tous ceux qui ont été initiés à l’hypnose, j’aborderai ici mes rapports aux patients, à la maladie et ma position en tant que soignant.
Phénoménologie de la transe en médecine générale. Dr Daniel Quin
Médecin généraliste pratiquant l’hypnose depuis quinze ans, en cabinet libéral, cette activité spécifique représente à ce jour 80 % de mes consultations. Je suis confronté régulièrement à des demandes de sevrage tabagique, à des phobies de toutes sortes, des troubles anxieux, des insomnies, des pulsions alimentaires, des comportements addictifs (alcool, drogues, jeux), à de la préparation à des concours ou des épreuves sportives.
Médecin généraliste pratiquant l’hypnose depuis quinze ans, en cabinet libéral, cette activité spécifique représente à ce jour 80 % de mes consultations. Je suis confronté régulièrement à des demandes de sevrage tabagique, à des phobies de toutes sortes, des troubles anxieux, des insomnies, des pulsions alimentaires, des comportements addictifs (alcool, drogues, jeux), à de la préparation à des concours ou des épreuves sportives.
Hypnose et médecine générale. Dr Gérard FITOUSSI
« La médecine générale est une médecine de l’individu dans son environnement naturel. L’objectif premier de la médecine est le soin du patient. Tout comme la médecine en général, la médecine générale est une discipline qui fait appel à des données biomédicales et techniques. Cependant ces seules données sont insuffisantes pour répondre à toutes les demandes de soins des patients.
« La médecine générale est une médecine de l’individu dans son environnement naturel. L’objectif premier de la médecine est le soin du patient. Tout comme la médecine en général, la médecine générale est une discipline qui fait appel à des données biomédicales et techniques. Cependant ces seules données sont insuffisantes pour répondre à toutes les demandes de soins des patients.
« L’hypnose, on commence quand ? » Dr Stefano Colombo, Revue Hypnose et Thérapies brèves 50
Ce qui me gêne ? Je souffre de crises de panique, docteur. C’est horrible. Cela me prend d’un coup, quand je les attends le moins du monde. - Parce que vous les attendez ? - J’y suis tellement habitué que je sais d’avance qu’elles vont venir. - Vous êtes donc prévenu ! - Tout en ne sachant pas quand elles viennent.
Ce qui me gêne ? Je souffre de crises de panique, docteur. C’est horrible. Cela me prend d’un coup, quand je les attends le moins du monde. - Parce que vous les attendez ? - J’y suis tellement habitué que je sais d’avance qu’elles vont venir. - Vous êtes donc prévenu ! - Tout en ne sachant pas quand elles viennent.
Interview du Dr Dominique Megglé par le Dr Gérard FITOUSSI
Votre parcours professionnel est impressionnant, pouvez-vous nous donner un aperçu ? Dominique Megglé : Servir ! Je me suis engagé dans l’armée pour servir la France. Pendant la Seconde Guerre mondiale, mon père, résistant, a été arrêté et torturé par les nazis, puis déporté à Buchenwald. Et comme je suis né au Maroc et que mon enfance en a été bercée, je voulais retrouver ma chère Afrique.
Votre parcours professionnel est impressionnant, pouvez-vous nous donner un aperçu ? Dominique Megglé : Servir ! Je me suis engagé dans l’armée pour servir la France. Pendant la Seconde Guerre mondiale, mon père, résistant, a été arrêté et torturé par les nazis, puis déporté à Buchenwald. Et comme je suis né au Maroc et que mon enfance en a été bercée, je voulais retrouver ma chère Afrique.
Hypnose et écriture: "146 boulevard Haussmann", l'ouvrage de Maurice Soustiel
Compte rendu par Sophie COHEN. Il est rare que je parle d’un récit et voici que cette rubrique fait exception pour l’excellent livre de Maurice Soustiel. Maurice Soustiel pratique l’hypnose dans sa consultation à l’hôpital. Il me dit sans l’hypnose, ce livre n’aurait jamais vu le jour parce que penser le passé jusqu’à l’écrire est extrêmement thérapeutique.
Compte rendu par Sophie COHEN. Il est rare que je parle d’un récit et voici que cette rubrique fait exception pour l’excellent livre de Maurice Soustiel. Maurice Soustiel pratique l’hypnose dans sa consultation à l’hôpital. Il me dit sans l’hypnose, ce livre n’aurait jamais vu le jour parce que penser le passé jusqu’à l’écrire est extrêmement thérapeutique.
Notes de lecture par Christine GUILLOUX
La clé des cœurs : Contes et mystères en pays amoureux, Henri Gougaud
Dernière livraison de notre ami Henri Gougaud, le conteur par lequel l’on renaît sans cesse, par lequel on se nourrit comme on se sourit, par lequel l’on sait transformer les menaces en miracles.
La clé des cœurs : Contes et mystères en pays amoureux, Henri Gougaud
Dernière livraison de notre ami Henri Gougaud, le conteur par lequel l’on renaît sans cesse, par lequel on se nourrit comme on se sourit, par lequel l’on sait transformer les menaces en miracles.
Initiation à la thérapie brève orientée vers les solutions : En dix leçons
Comptes rendus par Sophie COHEN
Un guide court et clair qui décrit les outils de thérapies brèves. En passant par la définition des objectifs et la question miracle, dix outils sont développés et ce en une centaine de pages. Avec cette synthèse, on ne peut plus dire que l’on n’a pas le temps de lire !
Un guide court et clair qui décrit les outils de thérapies brèves. En passant par la définition des objectifs et la question miracle, dix outils sont développés et ce en une centaine de pages. Avec cette synthèse, on ne peut plus dire que l’on n’a pas le temps de lire !